During my time in Sicily, I spent much time in a village community in the South West of the island. I can only describe Sicily as an island rich with influences both new and old. Mountainous villages hold family, village life and traditional food at the centre of their communities. Village squares holding a mixture of traditional shops, markets and small modern supermarkets. Old cars, and mopeds constantly running through the cobbled streets and old townhouses, with modern helmets worn by their riders. Heat in the summer months causes the small villages to become almost nocturnal, with ice-cream parlours and bars staying open until sunrise. Amongst other things, foreign clothing, technology, and art can be found throughout the island as modern influence begins to mix with the old. Vibrant colours, food, beaches and landscapes can be found throughout Sicily, with a sense of tradition and warmth which would be hard to find in any other modern European country.
Inspiré par le film La Haine (tourné par Mathieu Kassovitz en 1995,) j’ai décidé de prendre mes propres images de Paris. Le film dépeint la fracture sociale française pendant les années 90s en France. Les Cités, lesquelles ont été construit afin d’anéantir la fosse économique et sociale entre les gens Parisiennes, n’avait pas réussi. Les fléaux, les émeutes anti-police, le bidonville, les drogues et la pauvreté sont toujours présent et nous rappelons les défis lesquels face les banlieusards.
Pendant mon voyage au centre-ville, j’ai vu des banlieues. Je voulais faire découvrir à paris, son histoire du film et de la photographie ; renommé à travers le monde pour son esthétique. Le sens crée par les images en noir et blanc est symbolique de la perte de l’espoir dans ce film et il me semble qu’il ajoute aussi un sens d’endurance des banlieusards. Orienté vers cet idée, je voulais prendre des photos afin d’explorer l’ambiance de paris en réalité de la vie quotidienne, mais pas des images des cartes postales de Paris.